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Commercial moi ? Jamais.

Pourquoi donc la fonction commerciale, en France, est-elle vue comme un métier…

Pourquoi donc la fonction commerciale, en France, est-elle vue comme un métier peu valorisant, voire dégradant ?
Les chiffres sont là et tout frais : les offres d’emploi les plus nombreuses concernent la fonction commerciale pour 36%, alors que seuls 11% des jeunes diplômés postulent pour cette fonction.*
Les candidats se ruent plutôt sur les études et la R&D qui ne représentent que 7%. Même chiffre pour l’informatique où on est en pleine pénurie : 7% des candidats s’y intéressent alors que les offres représentent 13% du marché.

Dernière incohérence : on aurait trop de candidats en marketing et communication. Pourtant, on fait appel de plus en plus aux cabinets de recrutement pour trouver des savoir-faire pointus (il est vrai que les chiffres cités concernent avant tout les jeunes diplômés).

Concernant la fonction commerciale, il est vrai que lorsqu’on intervient auprès des grandes écoles, on est vite interloqués par la mauvaise image des métiers de la vente. Pourtant, bon nombre de ces jeunes diplômés vont, au contact du terrain, se rendre compte que tous ces a prioris sont complètement dépassés et devenir demain les chargés d’affaires, responsables commerciaux, directeurs de clientèle ou directeurs commerciaux qui seront à l’origine du développement de leurs sociétés.

Vous voulez un métier passionnant, évolutif, où être en contact au quotidien avec un grand nombre d’interlocuteurs. Où apprendre toujours plus sur une offre produits, une offre services ou un marché. Où mettre en oeuvre votre envie de convaincre et votre soif de gagner. Et où vous pourrez, mieux que dans n’importe quelle autre fonction, gagner de l’argent. Réfléchissez à la fonction commerciale. Renseignez-vous. Rencontrez des professionnels. Contactez-nous…

* Source : Cadremploi.fr

2 commentaires sur “Commercial moi ? Jamais.”

patlebon dit :

C’est vrai que c’est n’importe quoi cette façon de voir les commerciaux comme des moins que rien. Moi, ça fait 20 ans que je suis dans le métier et on me traite encore parfois de "vendeur de moquette". et alors, quoi de honteux à ca ?

raphael dit :

Moi je n’ai pas honte de mon job, c’est très gratifiant au contraire, ne serait-ce que parce qu’on est payé à la hauteur de ce qu’on mérite. Qu’ils y viennent ces "cols blancs" !

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