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Travailler sur le terrain, c’est l’école de la vie

Je persiste et signe : apprendre son métier sur le terrain reste le meilleur moyen de maîtriser et de progresser dans son job.
Monster relaye nos convictions, d’autant plus vraies pour les métiers du marketing et de la distribution. L’EXPERIENCE TERRAIN, INCONTOURNABLE POUR EVOLUER EN MARKETING PRODUIT Quand on veut travailler…

Je persiste et signe : apprendre son métier sur le terrain reste le meilleur moyen de maîtriser et de progresser dans son job.
Monster relaye nos convictions, d’autant plus vraies pour les métiers du marketing et de la distribution.

L’EXPERIENCE TERRAIN, INCONTOURNABLE
POUR EVOLUER EN MARKETING PRODUIT

Quand on veut travailler, il faut être capable de se remettre en cause. Si vous visez le marketing produit, vous en aurez l’occasion dès le départ car vous devrez d’abord passer par la case terrain, la meilleure des écoles pour comprendre les attentes et usages des consommateurs.

Rien ne vaut le terrain. C’est un credo dans les métiers traditionnels comme les métiers de la distribution et il est valable pour tous les acteurs de la chaîne. « Qui veut faire carrière dans le marketing doit démontrer qu’il a mis les mains dans le cambouis cela devrait d’ailleurs être appliqué à d’autres secteurs », pointe Claire Romanet, fondatrice et dirigeante d’Elaee.
Alors, rêver de marketing produit, voire de marketing stratégique au sortir de l’école, soit, tant que vous prenez la peine de considérer cette offre d’emploi de chef de secteur (côté industriel) ou cette autre, de chef de rayon (côté enseigne). Étudiez ces offres même si vous êtes fraîchement diplômé de l’ESSEC, d’HEC ou d’ESCP Europe et que vous vous voyez plutôt débuter directement à des fonctions d’assistant chef de produit, de merchandising ou de trade marketing junior.
« Les jeunes veulent faire du B2C (ndlr : Business to Consumer : des entreprises aux particuliers) et à l’intérieur du B2C, du lancement de produit. Ils sortent de l’école avec de grandes idées mais la réalité du marché est autre », prévient–elle.

Qui plus est, « le marché n’est pas très porteur aujourd’hui sur ces métiers, les structures marketing n’augmentent pas ou se réduisent, les recrutements sont donc peu nombreux. Et sachez que dans un organigramme, il y a toujours au moins 3 ou 4 fois plus de commerciaux que de marketeurs », précise David Guyot, directeur de Fed Business. Dans ce contexte, avec beaucoup de candidats sur le carreau, les employeurs ont le choix, ils sont exigeants. « Ils regardent le stage ils cherchent l’opérationnalité et ensuite les motivations et la personnalité ; ils achètent aussi un état d’esprit », pointe la dirigeante d’Elaee.

L’école de la vie

L’état d’esprit donc. Dans les métiers liés à la grande distribution, très ancrés dans le concret, on apprécie l’humilité.
« Le terrain, c’est l’école de la vie. En s’y frottant on montre des capacités à se remettre en question, à accepter les contraintes du métier pour être un meilleur professionnel demain
, souligne Claire Romanet. 
Les meilleures carrières que j’ai vues en marketing produit sont celles de personnes qui ont commencé en bas de l’échelle.
 »
À cela rien d’étonnant… La suite sur Monster

 

Un commentaire sur “Travailler sur le terrain, c’est l’école de la vie”

Mmuriel dit :

Quand on est jeune, on a des rêves plein la tête et c'et vrai que les métiers de la distribution ne font pas, comme ça, super envie. Et pourtant, je suis d'accord, c'et une super école où la richesse des rencontres est très forte

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